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Pierre CHEVALIER
(1905 Paris, décembre 2001)
Texte et photos Jean Philippe Grandcolas - C.D.S. Rhône : merci
!
Pierre
CHEVALIER (1905 - 2001)
Cet article n'a nullement la prétention
de retracer la carrière spéléologique de Pierre
Chevalier, mais il me paraissait dommage de ne pas évoquer
le personnage dans ce Spéléo-Dossiers, tant Pierre
Chevalier a marqué sa génération autant lyonnaise
que rhône-alpine, par ses explorations sur les principaux
massifs de notre région, que par ses 30 années passées
à Lyon.
Personnellement, je n'ai eu qu'une occasion de rencontrer Pierre
Chevalier, en Mai 1991 lors des Journées Pierre Chevalier
à Grenoble, journées mémorables organisées
par le Spéléo-Club de Paris et Les Spéléos
Grenoblois du Club Alpin Français. A cette occasion, j'avais
eu le plaisir de guider un groupe de " personnalités
spéléos " de l'époque dans la traversée
Trou du Glaz - Grotte du Guiers-Mort, mais pas Pierre Chevalier
!
Pierre Chevalier est né à Paris le 24 avril 1905.
Toute sa scolarité se déroule à Paris. En 1927
il obtient son diplôme d'ingénieur-chimiste. Le 22
décembre 1931, il se marie à Paris avec Elisabeth
Lartigue, ingénieur EMSE. Ils eurent 3 enfants : Jacques
(1933), Nicole (1938) et Michèle (1943).
En mars 1935, il entre comme chimiste de recherches aux usines Rhône-Poulenc
de Saint-Fons. Mobilisé en 1938 à Thionville, puis
en 1939 à Aubervilliers, il est ensuite affecté à
Saint-Fons.
En 1946, il est chargé de l'étude des silicones. A
partir de 1954, il dirige les unités de fabrication de la
nouvelle usine des silicones " Rhodorsil ", poste qu'il
conservera jusqu'à sa retraite en 1966.
Chevalier l'alpiniste
De 1923 à 1949, il totalisait 255 sommets,
dont 40 de plus de 4000 mètres (de 1939 à 1945, ce
fut une pause côté montagne, remplacée par une
intense activité spéléo dans la Dent de Crolles).
Chevalier spéléo
Ses débuts se font sur le massif d'Arbas-Paloumère
(Haute-Garonne), notamment au Puits de Plantillet avec Félix
Trombe, Guy Labour et Gabriel Dubuc en août 1934.
De 1936 à 1938, les expéditions avec le Spéléo-Club
de Paris lui permettront d'explorer plusieurs cavités du
Vercors, parmi les plus renommées : grotte de la Luire, scialet
de Malaterre (-155), Gour Fumant (-120), grotte du Bournillon, grotte
des Deux-Surs (-57), scialet de la Combe de Fer (-183), grotte
de Coufin, scialet du Pichet, grotte des Déramats, grotte
de Bury (-70); dans le Doubs, le réputé gouffre du
Paradis et dans le Dévoluy, le fameux chourum Dupont.
Il est membre fondateur du Spéléo Club Alpin de Lyon,
une équipe dynamique allait arpenter les massifs rhônalpins.
Ces membres du Spéléo Club Alpin sont pour la plupart
des montagnards, la spéléologie est pour eux une autre
forme de conquête, à l'opposé de celle des sommets
!
" Si le matériel créé par R. de Joly demeure
d'une utilisation quasi générale, il est cependant
certain qu'une grande part des exploits souterrains réalisés
à partir de l'époque de la deuxième guerre
mondiale revient au matériel et à la technique dite
" alpine ", qui se dégagent peu à peu des
mises au point de P. Chevalier et de ses collaborateurs, surtout
H. Brenot et F. Petzl, puis plus tard de
B. Dressler, puis de G. Marbach. H. Brenot avait d'ailleurs construit
le " singe ", ancêtre de l'actuel " jumar ",
dès 1932, mais son emploi par P. Chevalier et F. Trombe avait
montré qu'il usait trop rapidement les cordes de chanvre.
H.-P. Guérin le mentionne cependant en 1944, en même
temps que le " frein de descente " dans son petit Manuel
technique de spéléologie où il complète
la description du matériel de R. de Joly par celui de P.
Chevalier. Il convient d'ajouter que ce dernier permet, peu après,
l'emploi pratique des nouveaux agrès par son importante contribution
à la création de cordes de nylon pour l'alpinisme
et la spéléologie. Il faut aussi lui reconnaître
le mérite d'avoir montré l'exemple des grandes escalades
de cheminées grâce au mât démontable et
haubané qu'il utilise dès 1941 dans l'intérieur
du réseau du Trou du Glaz.
Ce n'est que longtemps après que l'on s'apercevra qu'un tel
renouvellement du matériel permet aussi de modifier la conception
de l'exploration en supprimant une bonne part des porteurs aussi
bien que des aides qui doivent rester en relais dans l'intérieur
de la cavité afin d'assurer le spéléologue
" de pointe " et de manipuler les échelles ".
(Bernard Gèze - Histoire de la spéléologie
française - Matériel et techniques - Spelunca Mémoires
n°17, 1993).
" Le C.A.F. a eu de ce point de vue un rôle historique
de premier plan. En 1936, est créée, sous la direction
du docteur J. Maheu, la Commission de Spéléologie
du C.A.F., toujours en fonctionnement en 1988. En même temps
sont fondés les deux grands clubs spéléologiques
du C.A.F. : le Spéléo-Club de Paris et le Spéléo-Club
Alpin de Lyon. Tous deux représentent le prototype des clubs
qui vont se développer après la seconde guerre mondiale
et assurer la prééminence de la spéléologie
française. [
]
Le Spéléo-Club de Lyon, fondé par P. Chevalier,
est lui l'exemple de la deuxième approche de la démarche
spéléologique moderne : celui de la concentration
de l'activité sur la région d'implantation du club
et sur une grande cavité. Mettant à profit leur valeur
technique alpine, les cafistes du S.C.L. réalisent entre
1935 et 1947 l'exploration complète du réseau de la
Dent de Colles, donnant à la France, pour plusieurs années,
le record mondial de profondeur (-603 m). Les explorations du S.C.L.
rapportées dans le livre de P. Chevalier, Escalades Souterraines,
enthousiasmèrent les milieux spéléologiques
français et étrangers. Par leur motivation, l'engagement
des participants et leur valeur d'exemple, on peut les considérer
comme un des points d'origine de la spéléologie moderne
". (Claude Chabert et Paul Dubois - Le Club Alpin Français
et le développement de la spéléologie en France
- L'émergence des clubs spéléologiques 1935-1950
- Spelunca Mémoires n°17, 1993).
- Il est membre du Groupe de Haute Montagne en 1925. Secrétaire
général en 1929-1930. Membre du Comité de 1929
à 1935.
- Membre (à vie) du Club Alpin Français en 1924.
- Membre fondateur en 1935 du Spéléo Club de Lyon
- et vice-président en 1937. En 1943, le S.C.L. est dissous
et remplacé par la Commission de Spéléologie
de la Section Lyonnaise du C.A.F. sous le nom de Spéléo
Club Alpin de Lyon, Pierre Chevalier en est le président.
- Membre fondateur en 1936 du Spéléo Club de Paris.
- Membre actif (à vie) en 1937 de la Société
Spéléologique de France, vice-président en
1938, président de 1951 à 1953.
- Vice-président en 1949 du Comité National de Spéléologie.
- Membre d'honneur en 1963 de la Fédération Française
de Spéléologie.
Nombreuses distinctions honorifiques du Touring Club de France,
Société de Géographie, Club Alpin Français,
Ministère de l'Education Physique et des Sports et Mérite
Civique.
Pierre Chevalier dans l'Ain
Pierre Chevalier a visité 7 cavités (précédemment
explorées) dans le Bugey entre fin 1935 et 1937 : gouffres
de Planachat n°1 et 2, grotte de Vaux-Saint-Sulpice, Précipice
des Queues, grotte de Charabotte (où il lève un plan
de 530 m), grotte de Jujurieux (levé d'un plan et estimation
d'un développement de 1200 m) et grotte de Corbière,
explorée sur 150 m.
Pierre Chevalier en Saône-et-Loire
De 1937 à 1942, Pierre Chevalier avec le S.C.A. de Lyon et
le Club Alpin de Mâcon reprennent les explorations dans le
gouffre de Blanot.
Pierre Chevalier en Chartreuse
Le Réseau de la Dent de Crolles de 1935 à 1947
Retracer en quelques lignes 12 années d'explorations dans
un réseau n'est pas tâche facile, le spéléo
" cultivé " lira " Escalades Souterraines
- Douze ans dans le plus grand gouffre du monde " ou "
La Dent de Crolles et son réseau souterrain " (en vente
par le C.D.S. Isère !).
Pierre Chevalier et son équipe prennent contact avec le Trou
du Glaz le 1er novembre 1935 ; à cette date, le développement
de la grotte du Guiers Mort et du Trou du Glaz avoisine les 2400
mètres.
Fin 1936, les difficiles explorations font augmenter légèrement
le développement à 3040 mètres. Fin 1938, il
est de 3854 mètres ; fin 1939, il passe à 5477 mètres
et en 1940, à 7764 mètres.
Le 8 août 1941, la jonction entre le Trou du Glaz et la grotte
du Guiers Mort est effective, c'est le record de France de profondeur
; le réseau développe dorénavant 9164 mètres.
Le 11 septembre 1943, la grotte Chevalier est explorée et
la grotte Annette est découverte. Le développement
(avec la grotte Chevalier) fait un bond à 14230 mètres.
Fin 1944, le développement est de 15080 mètres et
16003 mètres en 1945.
Le 3 août 1946, le Trou du Glaz est relié à
la grotte Annette.
Le 4 mai 1947, après des séances marathon de remontées
au mât, le Trou du Glaz jonctionne avec le P40 sus-jacent,
la Dent de Crolles est quasiment pénétrable sous toutes
ses faces ! C'est le record du monde de dénivelé avec
613 mètres ; le réseau développe 16898 mètres.
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La photo de Chevalier avec son mât
et sa pontonière découverte en 1948 dans les
stocks américains, a été prise à
l'entrée de la Diau en 1950, sa dernière année
d'exploration dans ce réseau, son avant-dernière
sur le Parmelan.
Citation sur la Diau : <<[...] et c'est
maintenant avec deux monoplaces de fortune que nous allons
affronter une des plus belle rivières souterraines
de France !>>
<< [...] Pourquoi connait-on 50 kilomètres de
réseau à la Dent de Crolles, à l'Alpe,
et depuis peu au Granier pourtant minuscule, et à peine
la moitié au Parmelan ? Il serait bien surprenant que
tous les gouffres connus soient irrémédiablement
bouchés, qu'aucun des trous de plafond de la Diau n'ait
de suite, qu'il n'existe aucun affluent venant du Téret.
La chasse est ouverte, bonne chance aux audacieux .>>
P. Chevalier, 1995. |
En 1952, aura lieu le premier stage national à
Perquelin (Saint-Pierre-de-Chartreuse) dirigé par Pierre
Chevalier et la première traversée P40 - Guiers Mort.
" Ce stage, national de par les souhaits des dirigeants des
groupes lyonnais et sous l'égide du C.N.S., sera organisé
sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse, au pied du massif
de la Dent de Crolles du 19 juillet au 3 août : Pierre Chevalier
en est le responsable technique , et on y retrouve au niveau de
l'organisation Charles Schaffran. Un historique du projet ainsi
que le compte rendu de ce stage ont été publiés
dans le bulletin du C.N.S. par Pierre Chevalier. Une trentaine de
stagiaires venus de 24 groupes différents furent encadrés
par M. Petit-Didier, Y. Créac'h, M. Jambert, J. Mauvisseau
et H. Paloc ainsi que des membres du Spéléo-Club Alpin
de Lyon dont Fernand Petzl. Des conférences
furent assurées par Jacques Rouire, André Bonnet et
Pierre Chevalier. Lors du stage, la première traversée
intégrale du réseau actif de la Dent de Crolles (gouffre
P.40 - grotte du Guiers Mort), soit une dénivellation de
603 m, fut réalisée en 30 heures par 8 participants
(400 m de puits, dont un de 60 m aux échelles ou en rappel
!) ". (Marcel Meyssonnier - Contribution à l'historique
de l'enseignement de la spéléologie en France : les
premiers stages - 1950-1969 - 1952 : le premier stage national de
" perfectionnement " - Spelunca Mémoires n°17,
1993).
Le massif de l'Aulp du Seuil
En 1937, Pierre Chevalier ajoute 600 m dans la
grotte du Guiers-Vif. Entre 1947 et 1950, il explore avec les grenoblois,
la grotte de Mort-Rû sur près d'un kilomètre.
Le massif de l'Alpe
En 1937, Pierre Chevalier explore le gouffre du Grand Ragne (-111)
et partiellement celui du Petit Ragne (-79). A la grotte du Biolet*,
dont l'entrée a été découverte avant
1947 par J.C. Rey et explorée sur 200 mètres, puis
poursuivie le 1er juin 1947 par Eisenstein les A.J. de Voiron, le
7 juin, Pierre Chevalier et Charles Petit Didier forcent une 2ème
chatière et explorent le 2ème méandre : 60
m en amont, 50 m en aval et le 1er méandre Banti Aval sur
250 m. Les 13 et 14 juillet 1947, Pierre Chevalier, Charles Petit
Didier, Bailly, Gonthard, Michallet et Eisenstein atteignent après
une expédition de 18H la cote -252 dans le réseau
Chevalier. Les 9 et 10 novembre 1947, Chevalier, Gevril, Gendre,
Revollat et Petit Didier, atteignent -166 dans le Réseau
Banti Aval. Du 30 octobre au 1er novembre 1948, une forte équipe
composée de Chevalier, Petit Didier, Tremeau, Bouffé,
Eymas, Gonthard, Mathieu, Berger, Cadoux et 6 grimpeurs lyonnais,
atteignent au cours d'une expédition marathon de 39 H le
fond du Réseau Chevalier à -338.
* La première entrée du futur réseau de l'Alpe.
Le Mont Outheran
Pierre Chevalier y explore 7 gouffres en 1937 et 1938, dont le gouffre
Mollard (-117), gouffre du Mont Outheran (-112) et l'aven du Grand
Boum (-92).
Le massif de l'Epine
En 1937, Pierre Chevalier explore plusieurs petites cavités,
dont la grotte de la Conche ou de Nances jusqu'à la première
voûte mouillante. Les 1er et 15 novembre 1936, en compagnie
de M. Perche, il explore le Golet des Lépreux ou gouffre
Chevalier jusqu'à -130 ; le 4 septembre 1937, avec Hurlimann,
Perche et Vacher, ils atteignent -195 (recoté -168).
Pierre Chevalier a visité quelques cavités de moindre
importance sur les massifs du Granier, du Grand Som, de la Cochette,
de la Roche Veyrand. Sur le Mont Tournier, il a topographié
sur 560 m la grotte de Vérel de Montbel.
Pierre Chevalier dans les Bauges
En 1937, Pierre Chevalier s'arrête (sans
raison) vers -105 dans la Tanne des Grands Rafous. Dans la grotte
de Pré-Rouge, il explore le réseau qui porte son nom
(1038 mètres).
En 1953, Pierre Chevalier avec le Spéléo Club de Lyon
explorent la Tanne des Cochons jusqu'à -108 pour un développement
de 200 m.
Pierre Chevalier dans le Vercors
Sur le plateau d'Engins, en 1950-1951, il explore
le gouffre P2 (-257) et en 1954 le gouffre Jean Noir jusqu'à
-134.
En 1951 et 1952, il explore la difficile grotte des Deux-Surs
jusqu'à -181.
En 1952, dans la grotte de Gournier, Pierre Chevalier, Petit Didier,
Eymas, Sillanoli franchissent la cascade de 12 et atteignent la
Grande Muraille dans la salle Chevalier à +200.
En 1954, il participe pendant une semaine au camp de -500 au gouffre
Berger.
Pierre Chevalier dans les Préalpes hauts-savoyards
En Haute-Savoie, avec le S.C.A.L., il topographie
la grotte de l'Ours sur le Semnoz et la grotte de Mégevette
en août 1938. Il explore la Tanne à la Graille, sur
le massif de Sous-Dine jusqu'à -179. En 1939, un petit tour
à la grotte de l'Ermoy, à Samoëns.
Cette équipe du club alpin s'intéresse particulièrement
au massif du Parmelan, la grotte de la Diau sous-jacente laisse
présager des découvertes intéressantes, en
1942 et 1943, avec Fernand Petzl et l'équipe
de la Dent de Crolles, +130 m en 1949 et +162 m en 1950 ; l'équipe
explore le gouffre du Pertuis jusqu'à -155, entre 1942 et
1945, le gouffre Glacé jusqu'à -108 en 1948, le puits
du Bonnet jusqu'à -130 et le puits du Méandre jusqu'à
-100 en août 1951. Ces explorations s'effectuent conjointement
avec les Eclaireurs de France d'Annecy.
En 1950, il explore la tanne à Parot et en 1951, prospection
sur le Mont-Téret.
Pierre Chevalier divers
En 1947, Pierre Chevalier effectue des escalades
au mât dans les " salles rouges " de l'aven d'Orgnac
(Ardèche). Il visite la grotte de Trabuc (Gard), la grotte
de la Cigalère (Ariège) et le gouffre d'Esparros (Hautes-Pyrénées).
Pierre Chevalier a vécu à Lyon 6ème,
une de ses filles vit aujourd'hui encore à cette adresse
!
Il a été inhumé le 6 décembre 2001 dans
le cimetière de Grésy-sur-Aix (Savoie), au pied du
massif des Bauges qu'il a fréquenté lors de campagnes
spéléos.
Bibliographie consultée :
Escalades Souterraines - Douze ans dans le plus grand gouffre
du monde - édition originale 1948 - P. Chevalier.
Opération -1000 - 1955 - J. Cadoux - J. Lavigne - G. Mathieu
- L. Potié.
Grottes et Abîmes - 1966 - P. Boulanger.
Inventaire spéléologique du Massif de la Chartreuse
- 1975 - Talour - C.D.S. Isère.
Gouffre Berger - Premier -1000 - 20 ans d'exploration - 1977 - G.
Marry.
Grottes et Scialets du Vercors - Tomes 1 et 2 - Vercors Nord et
Sud - 1978/1979 - Frachet - Lismonde.
Les Grandes Cavités Françaises - 1981 - C. Chabert.
Chartreuse Souterraine - 1985 - Drouin - Lismonde.
Actes des Journées Pierre Chevalier - Grenoble 8-12 mai 1991
- Mémoires du Spéléo-Club de Paris n°16
- S.C. Paris - C.A.F. - Spéléologues Grenoblois. Article
assez complet sur la vie, les activités montagnardes et spéléologiques
de Pierre Chevalier).
L'Aventure Souterraine en Savoie - 1993 - C.D.S. Savoie.
Cent Ans de Spéléologie Française - F.F.S.
- Spelunca Mémoires n°17, 1993 - Actes du Symposium d'Histoire
de la Spéléologie - Millau, 1er et 2 juillet 1988.
La Diau - 1995 - Bresse-Bugey-Spéléo - S.C. Annecy
- S.G.C.A.F. - S.S.S. Genève.
Les Rapports Bourgin - Années 1934 à 1951 - C.D.S.
38 - J.P.Méric - 1997 - Collection Archives et Documents
n°3.
La Dent de Crolles et son réseau souterrain - 1997 - C.D.S.
Isère - collectif.
Histoire de la Spéléologie dans l'Ain - 2001 - B.
Chirol.
Texte et photos Jean Philippe Grandcolas - C.D.S.
Rhône : merci !