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Les 500 contrepèteries du Niphargus

Comment brasser les mots cachés par des grottes.

Mise à jour  25.08.2017

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    • Spelunca N° 100 dernier trimestre 2005

    N° 9

    Solutions du n° 8 :

    Tout le groupe de spéléos file joyeusement dans ce P100.
    Les spéléos de Parme, blessés par une chute, ont posé un bras sur leur spit.
    Un spéléo Toulousain a découvert ce baudet au fond d’un P10.
    Le spéléologue au cigare utilise ses diodes au f/ond.
    Le topographe androgyne nous montre ses minis crobards.
    La jeune spéléologue ne fait pas la fine maintenant qu’elle est face à la Pierre.
    En fin d’explo, les deux spéléos rivaux se sont hissés dessus sans peine.
    La jeune spéléologue est surprise de sentir une mite dans sa botte.

    Ne pas confondre :

    Un CDS et est-ce un décès ?
    Les bottes sont mises et les mottes sont bises.
    Donnez des albarons et dorons des Albanais.
    Les mousquetons en fer et les mousquetaires en font.

    Continuons :

    Après l’expédition souterraine, le spéléologue ramène ses bottes à la maison et les pèse devant sa femme. Y restant collé, il pense qu’il y a de l’abus dans la glaise. Sa compagne, la botte aux mains, constate alors que c’est bien embêtant qu’ils pèsent autant ces spéléos. C’est encore elle qui devra ensuite sécher la combi. « Ce club c’est tout juste une série de rites humides où mes mains risquent de s’abîmer », pense-t-elle. « Et puis quel loisir macho de passer son temps à grimper des butes pleines de pierre*, de forer avec joie ou d’apprendre les nœuds à la méthode Coué. »
    Désabusée, elle songe « Alors, jette ! », pensant à se débarrasser de son conjoint grâce à un Basic qui cède. (11 c dont 2 doubles)
    * de Joël Martin


    • Spelunca N° 101 premier trimestre 2006

    N° 10

    Solutions du n° 9 :

    Après l’expédition souterraine, le spéléologue ramène ses bottes à la maison et les pèse devant sa femme. Y restant collé, il pense qu’il y a de l’abus dans la glaise. Sa compagne, la botte aux mains, constate alors que c’est bien embêtant qu’ils pèsent autant ces spéléos. C’est encore elle qui devra ensuite sécher la combi. « Ce club c’est tout juste une série de rites humides où mes mains risquent de s’abîmer », pense-t-elle. « Et puis, quel loisir macho de passer son temps à grimper des butes pleines de pierre*, de forer avec joie ou d’apprendre les nœuds à la méthode Coué. »
    sabusée, elle songe « Alors, jette ! », pensant à se débarrasser de son conjoint grâce à un Basic qui cède.

    Ne pas confondre :

    Un coup de marteau sur le burin et un coup de Martin sur le bureau.
    Un beau trou sec et un bout trop sec.
    Des P100 et des pensées.
    Des broches au fond et des boches au front.

    Continuons :

    Chère amie spéléologue, l’argile teint en souterrain et rend ta fringue moulante. (2c de JP)
    Quand les nouilles sont argileuses, le fond des cames est glissant et ne plaque plus. (2c)
    La compagne des spéléos les rejoint au bivouac : mon kit touche enfin au but, se dit-elle. (1c)
    Les spéléologues racolent des fonts boueux. (1c de Luc Étienne)
    La spéléologue méticuleuse a horreur des gants qui plissent. (1c de Jacques Antel)
    La copine du spéléo le trouve pestant à cause d’un R10. (1c)

     


    • Spelunca N° 103 troisième trimestre 2006 – pas de rubrique au numéro 102

    N° 11

    Solutions du n° 10 :

    Chère amie spéléologue, l’argile teint en souterrain et rend ta fringue moulante.
    Quand les nouilles sont argileuses, le fond des cames est glissant et ne plaque plus.
    La compagne des spéléos les rejoint au bivouac : mon kit touche enfin au but, se dit-elle.
    Les spéléologues racolent des fonts boueux.
    La spéléologue méticuleuse a horreur des g/ants qui plissent.
    La copine du spéléo le trouve pestant à cause d’un R10.

    Ne pas confondre :

    Une mer de perles et une paire de merles.
    Tendre l’anneau et tondre l’Anna.
    Les Dyneema et les mets d’Annie ou les médinas.
    Huit tressé avec et ces truies.
    Des falaises habituelles et les fadaises habituelles.

    Continuons :

    Au sortir du trou, le Marbach est toujours marron. (1c de JP)
    Le spéléo zen affirme avoir abordé ce P10 bien détendu. (1c)
    Au bord du gouffre, la spéléologue fait glisser son pote dans la mousse. (1c)
    Quelle horreur, cette grotte mouille ! (1c de JP)
    En Nouvelle Guinée, la spéléologue n’en finit pas de tomber sans papous. (1c)
    Le spéléo réunionnais a mis son baudrier dans un trou de lave. (1c)
    Il bée en plain champ le « Trou des génisses polies ». (2c)
    Les groupes de plongeurs spéléos reçoivent souvent les Clans des Tritons. (1c de Luc Etienne)


    • Spelunca N° 104 quatriième trimestre 2006

    N° 12

    Au sortir du trou, le Marbach est toujours marron.
    Le spéléo zen affirme avoir abordé ce P10 bien tendu.
    Au bord du gouffre, la spéléologue fait glisser son pote dans la mousse.
    Quelle horreur, cette grotte mouille !
    En Nouvelle Guinée, la spéléologue n’en finit pas de tomber sans papous.
    Le spéléo réunionnais a mis son baudrier dans un trou de lave.
    Il bée en plein champ le « Trou des génis(ses) poli(es) ».
    Les groupes de plongeurs spéléos reçoivent souvent les Clans des Tritons.

    Ne pas confondre :

    Les cordes durent et les Kurdes dorent.
    Un beau spit et un bi-spot.
    Il tord le descendeur et il sort le détendeur.
    Un nœud fin et un feu nain.

    Continuons :

    Dans la pénombre, le doyen des spéléos constate que sa vieille pile peine. (1c de JP)
    Face à ce petit gour un peu las, la spéléologue pense que cette mini crique ne lui offrira même pas une bonne trempette. (2c dont 1 de Luc Étienne)
    Ce spéléo ne s’emballe jamais dans les trous de nuit. (1c de Jacques Antel)
    Une pierre à la main, la jeune spéléologue serait vue, emballée par les Corneilles. (2c) [NDLR : aven des Corneilles, Causse Méjean]
    Apercevant alors la jeune conquise, sans attendre un refus, Jean-Pierre déballe prestement sa plaquette. (1c triple)

 

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